en effet les loot box dans les jeux vidéos sont interdit sous prétexte que c est basé sur le hasard et que l on ne sais pas se qu on va avoir exactement au final par contre les jeux a gratté eu sont autorisé sous prétexte que la c est pas du hasard mais de la probabilité alors qu au final les loot box sont autant basé sur des probabilité que les jeux a gratté
pareil en Belgique une lois est passer début octobre interdisant les pub pour les casinos sous prétexte que c est du hasard par contre faire des pub pour des jeux de loterie c est autorisé ( la c est plus du hasard mais des probabilité )
hors les jeux de casinos sont légiférer et ne sont pas du pur hasard les casino ont une obligation de reverser x% de leur revenu et sont donc en réalité des jeux de probabilité aussi
la seul différence c est que les truc autorisé c est gérer par la loterie national ( donc l état ) et le reste par du privé
cette lois sur les loot box est en définitif un "dommage collatéral" de la politique interne en Belgique entre les grosse société gérant les casino et la loterie national plus qu autre chose en réalité tous sa enrobé dans un beaux discours
du moins c est se que ma expliqué mon frère travaillant chez gaming one la société qui gère les site de casino en ligne ( il est donc plutot bien placer pour en parlé )
Je t'invite à lire la section 5.1.3, 5.1.4 et 5.2 sur la notion de hasard, ce qui est reproché n'est pas le hasard mais le fait qu'un éditeur peut récolter des données et pousser un résultat afin d'encourager la consommation (lootbox qui donne un légendaire toutes les x box ouvertes par exemple ce n'est pas du hasard). Quand tu achètes un jeu a gratter, l'éditeur ne peut pas modifier les résultats sur base de données qu'il aurait collecter sur toi, le lotto ne te dit pas : "Hey ça fait 99 fois que tu joues la 100 fois je te fais gagner !" ... Il suffit de regarder les jeux Gatcha qui se basent sur le même principe et de comparer des taux de drops entre un compte free et un compte payant ... c'est bluffant.
Quand on prend le cas Hearthstone qui est disponible en Belgique car il me semble que comme chaque item des "lootbox" ou booster peut être crafté et que les paquets peuvent être acheté avec de la monnaie IG cela ne provoque pas un préjudice envers le joueur. On peut se demander alors pourquoi certains jeux sont interdits chez nous ? - soit il tombe dans le pay-to-win pay-to-progress qui sont interdits en Belgique (avantage dans le jeu je pense à Lost Arkh par exemple) - soit et il faut relire les recommandations :
- Autorisez des vérifications complètes des générateurs aléatoires utilisés pour les loot boxes par le service Évaluations techniques de la Commission des jeux de hasard;
Autrement dit être transparent sur le fait que ce que tu proposes est bien du hasard et pas de l'orientation de probabilité.
Quand on voit qu'en Belgique la peine pour les exploitants sans mesure adéquate va de cinq ans de prison et une amende de 800 000 € au double si l'infraction a été commise sur un mineur, il est plus simple de ne pas sortir un jeu dont on sait qu'on traficote les taux de drops sur les lootbox sur ce territoire plutôt que de révéler la supercherie à une commission ou de se réguler pour en faire vraiment du hasard.
Mon avis et il n'engage que moi est que nombre de sociétés ne sont pas clean à ce sujet, le reste des recommandations est relativement facile à mettre en place (taux de drops affiché c'est déjà imposé en Chine il me semble, plafond de paiement et symbole de jeu d'argent c'est pas ce qui demande le plus de ressources à mettre en place). Tant qu'une loi internationale ou qu'un pays comme les USA, la Chine, etc ne fera pas un pas en ce sens, les éditeurs de jeux continueront à utiliser ce système.
Pour m'être penché (je suis belge) sur le sujet à l'époque (2018 je crois) voici ce que disait en conclusion le rapport de la commission des jeux et du hasard en Belgique :
L'étude établit clairement que l'achat de loot boxes au sein des jeux étudiés pose véritablement problème auprès des joueurs, tant en ce qui concerne le processus d'achat que les techniques utilisées pour inciter les joueurs à engager des mises par le biais des loot boxes. Le système de classification autorégulateur des jeux vidéo n'offre pas la protection prévue par la loi sur les jeux de hasard. Il n'y a en réalité aucune protection systématique du consommateur, ni des mineurs, ni des accros aux jeux de hasard en ce qui concerne les jeux de hasard. Pire encore, les jeunes joueurs sont confrontés à des jeux de ce type sans même en avoir conscience. Puisqu'ils expérimentent le gain et la perte avec des mises financières, il leur est pour ainsi dire inculqué de considérer les jeux de hasard comme banals et ils sont par conséquent moins susceptibles de pouvoir résister aux dangers de ces jeux. Le caractère dissimulé des jeux de hasard est particulièrement problématique lorsque des enfants sont concernés. Si aucune mesure adéquate n'est prise, les jeux de hasard dans les jeux vidéo causeront des problèmes croissants aux personnes, à leur famille et à la société. Les loot boxes payantes des jeux étudiés Overwatch, FIFA 18 et Counter-Strike: Global Offensive correspondent à la définition d'un jeu de hasard parce qu'elles contiennent tous les éléments constitutifs d'un jeu de hasard (jeu, mise, hasard, gain/perte). Le système de loot boxes de Star Wars Battlefront II correspondait également à cette définition, mais uniquement avant le lancement officiel du jeu. Ce n'est désormais plus le cas. Les jeux de hasard sont interdits en Belgique, sauf exceptions prévues dans la loi susmentionnée. Le caractère permanent et à grande échelle de l'exploitation de ces jeux vidéo par des entreprises privées dont le but est uniquement lucratif et nullement social ou caritatif implique que cette exploitation ne peut pas être visée par l'une des exceptions prévues par la loi sur les jeux de hasard. Les jeux étudiés qui comprennent un système de loot boxes, tout comme les autres proposés et exploités sur le territoire belge, enfreignent la loi sur les jeux de hasard et peuvent faire l'objet de poursuites pénales. Les loot boxes gratuites ne peuvent quant à elles pas être assimilées à un jeu de hasard, mais elles apprennent aux joueurs jeunes et vulnérables les techniques de ce type de jeu, rendu invisible grâce à l’illusion du jeu d’habileté et certainement lorsque celles-ci sont utilisées comme un système de gain ordinaire.
Les loot boxes gratuites posent également problème si elles servent de tremplin pour diriger les joueurs vers leurs versions payantes. L'utilisation des données personnelles n'a pas été considérée comme une mise dans le cadre de cette étude. Or, il a été constaté que les pratiques de gestion des données peuvent poser un véritable problème et constituer un risque réel de manipulation des joueurs à grande échelle. Comme cela a déjà été fait pour le jeu Game of War, des mesures doivent être prises pour supprimer les loot boxes payantes des jeux vidéo concernés pour que ceux-ci soient conformes à la loi belge sur les jeux de hasard. En l'absence de telles mesures, les exploitants actifs risquent, en première instance, jusqu'à cinq ans de prison et une amende de 800 000 €. Ces peines peuvent être doublées si l'infraction a été commise envers une personne de moins de 18 ans. Il a été constaté que les développeurs et les plateformes de jeu recourent à un large éventail de techniques pour tenter le joueur et l'inciter à jouer en ligne et à acheter des loot boxes sans aucune limite. Ces techniques varient fortement: monitoring du comportement social, politique laxiste en matière de protection des données ou encore manipulation à grande échelle à l'aide de générateurs de nombres aléatoires (RNG) basés sur le comportement des joueurs. Il convient de souligner que cette possible manipulation du comportement, laquelle pourrait supprimer le caractère aléatoire, n'existe pas aux yeux du joueur-consommateur. Une telle manipulation du jeu et du joueur est en outre complètement incompatible avec le déroulement correct d'une partie. Le système autorégulateur de l'industrie vidéoludique ne protège pas le joueur, du moins pas suffisamment. La possibilité d'utiliser de l'argent dans les jeux vidéo a été pensée dans ses moindres détails avec ingéniosité, mais les choses sont tout autres pour l'intégration du système PEGI. Les conditions d'âge et de jeu ne sont pas intégrées dans le système de paiement par les développeurs et les plateformes de jeu. Une fois que le joueur a créé son compte, il peut effectuer des paiements (anonymes) de multiples façons sans que son âge ne soit vérifié à aucun moment. Un enfant de 13 ans peut en effet effectuer des paiements dans un jeu interdit aux moins de 16 ans. Le manque de contrôle et de régulation dans ces jeux vidéo est particulièrement problématique pour les mineurs et les accros aux jeux de hasard, qui peuvent jouer à ce type de jeux sans la moindre protection. PEGI ne vérifie pas non plus les loot boxes et n'organise pas le moindre contrôle quant à leurs limites d'âge. En dernier lieu, nous avons constaté que non seulement les développeurs et les plateformes de jeu mais aussi les sociétés qui octroient des licences, comme la fédération internationale de football FIFA et Disney, doivent de toute urgence être confrontées à leur implication dans l'exploitation de jeux de hasard illégaux et à la nécessité de protéger les joueurs mineurs et vulnérables.
Le suivi du secteur du jeu vidéo et l'absence de véritable régulation des jeux de hasard dans ces derniers offrent un contraste criant avec le niveau de régulation des jeux de hasard pour adultes.
Et voici les recommandations :
Puisque les loot boxes payantes des jeux vidéo étudiés sont illégales, il convient d'envisager des sanctions pénales pour l'offre persistante. Dans un premier temps, à l'égard des exploitants de ces jeux de hasard, et dans un deuxième temps, à l'égard de parties impliquées dans l'exploitation de ces jeux illégaux. Seuls quatre jeux ont été étudiés, il est donc vraisemblable que l'ampleur du problème soit plus vaste, raison pour laquelle les recommandations suivantes sont importantes: À l'attention du législateur: - Nous vous prions de moderniser la Commission des jeux de hasard pour que parents et enfants puissent être mieux informés et protégés contre le risque d'addiction aux jeux de hasard et pour que davantage d'études puissent être réalisées au sujet de la présence d'éléments de jeux de hasard dans les jeux vidéo (gratuits). Soit à la suite d'une plainte, soit d'office, les jeux vidéo doivent pouvoir être étudiés pour identifier l'éventuelle présence d'éléments problématiques de jeux de hasard. Cette recommandation s'applique non seulement à la relativisation des éléments de jeux de hasard (jeux vidéo comprenant des éléments de hasard non problématiques), mais aussi à la protection des joueurs (en indiquant clairement au joueur et aux parents les jeux vidéo non adaptés aux mineurs); - Des autorisations spécifiques doivent être élaborées pour les jeux de hasard présents dans les jeux vidéo; - Une interdiction de principe pour les mineurs d'acheter des jeux contenant des loot boxes payantes; - Une vérification de l'âge dans les supermarchés lors de l'achat de codes ou cartes cadeaux pour les jeux vidéo. Les mineurs ne peuvent pas effectuer de paiement relatif à des jeux vidéo non adaptés à un public mineur. À l'attention des organisations qui octroient des licences, comme la FIFA et Disney: - Respectez les normes de qualité lors de l'octroi d'une licence à un développeur de jeux (aucun jeu de hasard illégal, aucune promotion du trucage des matchs, etc.). À l'attention des plateformes de jeu qui prennent en charge les paiements utilisables dans les jeux vidéo:
Les conditions d'âge de la plateforme et du jeu vidéo utilisé doivent être identiques. Si un jeu est interdit aux mineurs, ces derniers ne doivent pas pouvoir effectuer de paiement.
À l'attention des éditeurs et des développeurs (EA, etc.): - Indiquez clairement les chances de remporter les différents objets; - Autorisez des vérifications complètes des générateurs aléatoires utilisés pour les loot boxes par le service Évaluations techniques de la Commission des jeux de hasard; - Mettez à disposition les données des joueurs et de paiements; - Fixez un plafond pour les montants financiers qui peuvent être dépensés en loot boxes; - La présence de loot boxes payantes ne peut ni empêcher ni désavantager le déroulement d'une partie normale sans loot boxes payantes; - Un symbole pour les jeux de hasard est indispensable (par exemple: « contient des jeux de hasard »)
et j'attire votre attention sur cette dernière partie destinée au éditeurs qui et nous sommes 5 ans plus tard n'a toujours pas trouvé écho chez eux. Il est peut-être plus facile de ne pas sortir un jeu sur un territoire que de le rendre légal et probablement moins lucratif ... Si d'autres pays s'alignaient la balance pencherait peut-être.
Je sais pas si ce sera le boss de fin mais je verrais bien un 2 VS 2 entre Durotan/Thrall et Garrosh/Grom, un nouveau concept de boss Twins.
Je pense aussi que Gul'dan et Kil’jaeden pourraient faire une apparition peut être en tant qu'un seul et même boss (Gul'dan sous puissance de Kil).
Je sais pas vous mais le collectionneur en moi a soudain envie de refarmer ces vieux loots liés aux héros orcs de Draenor :
La Lamepoing (salles brisées), Hurlesang (kara), Le crâne de Gul'dan (BT), ...
Si Shadowland arrive à la 9.0 avec Helya, Sylvanas, Bolvar et toutes la clique , que Bolvar décide de relever de nouveaux DK via la lame d'ébène ou directement (on a quand même relevé Nazgrim/ et les 2 autres cavalier dans la campagne DK de Légion) on peut alors imaginer un nouveau scénario de départ pour les nouvelles race en DK, démarrant à Shadowland.
Pour avoir testé plusieurs types de pvp, j'appréciais particulièrement celui de GW2 (ça fait un moment je ne sais pas si c'est toujours comme ça), tout le monde a le même pull de stats et chacun choisi son opti (genre hate/crit, ...) et c'est le choix des talents / opti stat et le skill qui font la différence. Les récompenses sont cosmétiques (vu qu'on a tous le même pull de stats). Donc le temps de jeu n’impacte que la qualité du skill et pas la qualité de l'équipement ce qui rend le jeu plus ou moins équitable.
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